Le cinéma a 124 ans !

Joyeux anniversaire le cinéma !
Voici mon cadeau pour l’art le plus important dans le monde : le film «L’histoire du cinéma».

Сегодня кино исполняется 124 года. По этому поводу я публикую фильм «История кино». Без шуток считаю это самой своей значительной работой на сегодняшний день, даром, что весь фильм — это 2549 кадров. Фильм относится к жанру экспериментального кино, смотреть его можно любым способом, но при одном условии — только на максимально большом экране! Если вам кажется, что вы что-то заметили, скорее всего, это в фильме есть. 16+.
С днём рождения!

** The Irishman, 2019. Seuls les vétérans vont au combat

The Irishman 2019
Martin Scorsese et Robert De Niro se sont unis en 2019 pour tourner un film après la pause de 24 ans depuis «Casino». Le nouveau film de Scorsese appellé «The Irishman» est consacré à la mafia comme trois autres films de ce duo. Robert De Niro joue un sicaire au service de la mafia — Frank Sheeran surnommé «The Irishman». Ironiquement l’une des grand-mères de De Niro portait le nom O’Reilly, donc l’acteur lui-même est partiellement l’Irlandais. Pendant la Seconde Guerre Mondiale Frank Sheeran combattait en Italie où il a appris la langue et il a appris à tuer sans procès juste par ordre d’un officier supérieur. En revenant aux États-Unis Frank Sheeran travaille comme chauffeur mais bientôt il commence à travailler pour un gangster — Russell Bufalino (Joe Pesci). Il s’avère que Frank est un sicaire idéal — doué en meurtre, taciturne et plein de sang-froid. Quand la mafia établit des contacts Jimmy Hoffa (Al Pacino) — le président du syndicat des conducteurs routiers américains très populaire, Frank Sheeran va effectivement au service du dirigeant syndicaliste. Au cours de nombreuses années Frank Sheeran résolvait des problèmes de Hoffa, ils sont devenus amis. Mais quand Hoffa a décidé qu’il gérerait le syndicat sans contrôle mafieux, on a dit à Frank que Jimmy Hoffa devrait été tué. L’Irlandais a fait son travail parfaitement — personne n’a trouvé ni tueur ni donneur d’ordres, Jimmy Hoffa s’est dissous dans l’air. Le seul inconvénient que le tueur a obtenu, c’était la perte absolue de contact avec sa fille Peggy (Anna Paquin) qui toujours aimait Jimmy Hoffa et qui a deviné le rôle de son père dans sa disparition. Après la prison où Frank s’est trouvé pour une autre raison, Frank Sheeran finit ses jours dans une maison de retraite, oublié par tout le monde sauf les agents du FBI qui espèrent que le vieillard avoue avoir tué un ami avant de mourir.

The Irishman 2019
Dans «Casino», le dernier film de Scorsese avec De Niro, les personnages les plus aimés par moi c’étaient deux sicaires, deux hommes d’âge dodus qui à la fin du film enlèvent les témoins indésirables avec la tranquillité pratique. Après les gangsters éclatants où incontrôlables Scorsese enfin a jeté son coup d’oeil sur ces travailleurs de pistolet et de nœud d’anguille. Le sujet principal reste comme dans «Casino» ou «Goodfellas» — l’envolée et la chute des gangsters. Mais leur vie et le style de Scorsese ont changé. Dans «The Irishman» il n’y a pas encore de montage frappant et de costumes voyants. En échange il y a beaucoup d’hommes trop sérieux et d’intrigues ennuyeuses politiques. La caméra ne vole plus comme une danseuse de ballet (nous nous rappelons l’image très longue et très prétentieuse dans un club dans «Goodfellas»). Pourquoi ? La réponse est simple — elle est vieille. Comme Scorsese, De Niro et tous les autres acteurs principaux, parmi lesquels on peut remarquer Harvey Keitel — le héros principal de «Mean Street», le premier film de gangster de ce réalisateur. Scorsese a essayé pour la dernière fois de reconstruire son style dans «The Wolf of Wall Street». Maintenant le temps de réflexion est venu pour lui au lieu du temps de mouvement. Le réalisateur a 77 ans, De Niro et Pesci — 76, Pacino — 79, Keitel — 80. C’est impossible de créer quelque chose très active et dynamique avec cette équipe. En réalité le changement des intérêts de Scorsese était évident dans «Silence» où le réalisateur se concentrait sur la question de foi. Martin regarde dans le silence de la vie dans l’au-delà et il voudrait nous montrer les gangsters qui survit à la vieillesse profonde. C’est un objectif un peu difficile parce que pour la plupart de mafiosi c’est exploit de rencontrer la vieillesse sans une balle dans la tête.
Pas de doute, Scorsese est une légende vivante de film de gangster. En réalisant que c’est impossible d’entrer deux fois dans la même eau (il se rappelle qu’il y a 24 ans la cible de la critique était la ressemblance de «Casino» à «Goodfellas»), Scorsese a dû faire avec le genre ce que John Ford avait fait avec western dans «The Man Who Shot Liberty Valance». Les années vécues donnent à Scorsese un avantage — l’expérience de vie et la compréhension de la vieillesse — le sujet presque toujours exclu de ce genre. Bien sûr pour fermer le genre Scorsese a dû choisir le gangster en chef de tout l’univers du cinéma — Robert De Niro qui les a joués en quantités innombrables depuis Bloody Mama (1970) de Roger Corman chez Scorsese, Coppola, Tarantino, Mann, De Palma, Leone et même Remis. Maintenant le temps de compter est venu. Il n’y a pas encore de fougue juvénile, de courses et de fusillades cinématographiques — au lieu de ça on voit le travail monotone et risqué décoré d’aliénation totale. Paraphrasant la question d’Antonioni on peut demander : pourquoi les films sur la vie longue doivent être longues ? Seulement un budget gonflé peut être la justification. Le film durant 209 minutes pourrait être une heure plus court ou une heures plus longue — personne ne remarquerait pas la différence, parce que Scorsese sait à suivre le rythme. Mais c’est une demi-heure plus longue que «The Godfather» — un chef-d’œuvre classique et épique avec beaucoup de péripéties et de conflits internes. Y en a-t-il ? Pas du tout. Frank Sheeran est une machine à tuer, un criminel privé d’émotions qui n’a jamais ni faute ni doute. Sauf problème de fille il n’y en a presque pas d’autre. Les conflits internes sont absents dans le sujet éternel de la trahison. Frank a tué Hoffa presque sans hésitation. Bien sûr il y a de suspense et de l’intérêt dans cette scène, mais Frank a déjà pris la décision (une nuit blanche ne compte pas). Étonnamment, mais les effets-spécieux très chers et très critiqués se sont avérés utiles pour le sujet — on a tourné la visage de De Niro dans un masque sans émotion (ILM a presque réussi à rajeunir l’acteur mais en même temps on a effacé toutes les expressions faciales). Incroyable, mais le rajeunissement digital n’est pas un problème pour Joe Pesci qui n’a pas été tourné depuis une décennie. Un retraité du cinéma rejoue facilement son partenaire plus célèbre en créant un personnage vivant en comparaison par rapport à la statue de Frank Sheeran. Quant à Al Pacino qui partage l’écran avec De Niro pour la première fois dans un film sérieux, cet acteur a encore beaucoup d’énergie propre qui n’est pas suffisant pour jouer le plastique d’un homme de quarante ans, mais suffisant pour pousser son adversaire ancien de «Heat» dans un coin d’image.
Ce qui est le plus important et le plus cher d’un point de vue artistique, c’est les derniers trente minutes du film. Le choix du cercueil par un homme qui en mettait d’autres et qui s’achetait seulement des voitures. Les mains tremblantes tenant une canne qui ne tremblaient jamais en tenant un pistolet. La porte ouverte de celui qui la fermait toujours (la dernière rime à «The Godfather»). Les images qui aujourd’hui peuvent et doivent être tournés seulement par Scorsese. Le réalisateur qui avec son acteur se sont déjà préparés pour son demain.

*** Silence, 2016. Il n’est de mot que dans le silence

Silence 2016
Après «The Wolf of Wall Street» — une comédie délurée — Martin Scorsese a porté les yeux sur un sujet plus spiritualiste. Il est venu de la représentation d’un pécheur endurci à celle d’un homme juste. «Silence» est un film historique dont l’action prend place au Japon au début du XVIIe siècle. À cette époque-là le christianisme était interdit au Pays du soleil levant et le père Ferreira (Liam Neeson), le dernier prêtre catholique au Japon, a abjuré sa foi catholique après les tortures et les meurtres de ses disciples. En apprenant cette nouvelle, deux jésuites portugais jeunes, Sebastião Rodrigues (Andrew Garfield) et Francisco Garupe (Adam Driver), partent de Macao au Japon pour trouver et sauver le père Ferreira. Deux pères débarquent près d’un petit village Tomogi dont les habitants sont chrétiens clandestins. Malheureusement un inquisiteur Inoue (Issei Ogata) y arrive et il prend quatre otages parmi les villageois. Ils doivent piétiner une image de Jésus (un fumi-e) et ils font ça sur les conseils du père Rodriguez. Mais après cette formalité Inoue leur propose un test plus difficile — de cracher sur une croix de bois. Trois otages se renoncent et ils se font brûler. Seulement Kichijiro (Yōsuke Kubozuka), le guide des héros qui a déjà abjuré une fois, répète son acte impie. Suite à cette tragédie (tous les villageois étaient les témoins à l’exécution) les pères se séparent pour éviter l’inquisition.
À partir de maintenant nous restons avec le père Rodriguez. Il retrouve Kichijiro et il accepte sa pénitence juste pour être bientôt trahi par le japonais. Capturé par les inquisiteurs, Sebastião Rodrigues regarde la mort de Francisco Garupe qui essaie de libérer quatre chrétiens noyés. Ensuite le héros du film est ensuite emmené dans un temple bouddhiste, où Inoue et le père Ferreira qui a changé la religion et le nom essaient de convaincre le prisonnier de laisser ses tentatives de baptiser le Japon parce que «c’est un marais ou toutes les racines se dessèchent». Le père Rodrigues refuse et commence à préparer au tortures et au baptême du sang. Mais le portugais n’a pas mesuré la perfidie japonais — au lieu du père Rodrigues Inoue torture les chrétiens japonais qui ont déjà abjuré. Aussi Sebastião Rodrigues piétine-t-il un fumi-e et ensuite il change son nom et marie la femme japonaise. Après beaucoup d’années de la vie bouddhiste immaculée sous la surveillance infatigable de l’inquisition, Sebastião Rodrigues meurt et est brûle avec un crucifix caché dans les mains qui a été mis par sa femme.

Silence 2016
Ayant montré le Dieu sous l’apparence où il est apparu une seule fois («The Last Temptation of Christ») Scorsese essaie de montrer le Dieu de notre vie ordinaire — le Dieu invisible et inaudible. C’est une décision principale pour le réalisateur qui a voulu pendant la jeunesse de devenir un prêtre catholique. Scorsese a pris le titre d’un film de Bergman qui essayait pendant toute sa vie de surmonter le silence du Dieu. «Silence» nous renvoie aux films des années 1950-1960, des films du réalisme théologique. Bien sûr le réalisateur nous rappelle non seulement le cinéma européen mais aussi le cinéma japonais. C’est presque impossible pour un cinéphile de tourner un film sur le Japon en n’utilisant pas les images qui viennent de films d’Akira Kurosawa (e. g. le tribunal) ou Kenji Mizoguchi (un bateau dans le brouillard). Le point de vue de Scorsese est strictement réaliste (sauf la vision de l’image du Christ dans l’eau). Son montage voyante et ses mouvement du caméra prétentieux ont cédé leur place au point de vue statique. Les couleurs éclatantes se sont disparus et il en reste seulement trois — le vert des broussailles qui cachent les missionnaires, le bleu de la mer qui entoure ce pays imprenable et l’orange du feu qui éclaire des services divines clandestins et ensuite dévore des chrétiens. Le film presque manque du rouge, le couleur du sang, non seulement parce que les japonais préfèrent de brûler et noyer les martyrs pour priver les chrétiens de leurs os, mais parce que le réalisateur ne veut pas marteler le sujet des souffrances physique, préférant de porter l’accent sur la souffrance spirituelle.
Deux acteurs aident à Scorsese de transmettre les doutes de foi. En passant le temps de préparation dans les jeûnes et les prières Andrew Garfield a presque réussi de se délivrer du vernis hollywoodien. Quant à Adam Driver, dès les premières images du film il ressemble à un moine des peintures anciennes. En plus, les acteurs japonais trouvés pas Scorsese ont l’air authentique et en voyant le film on peut croire se déplacer au Japon du XVI-me siècle, au temps de la misère et des bagarres cruelles. Le point du vue de Scorsese sur le Japon est sévère, comme sur «Sansho the Bailiff» de Mizoguchi. Les paysans tourmentés par les travaux obligatoires durs et n’ayant pas de joie, perçoivent la vie dans l’au-delà chrétiens comme le dernier espoir et seulement les actions trop cruels des inquisiteurs peuvent casser ce barre. Mais le film n’est pas consacré au recouvrement de fois par les japonais. Le film est plutôt consacré à la perte de la foi par le héros principal. Au début il se sent comme un apôtre — il est prêt à aller dans le pays lointaine et très dangereux pour sauver son frère, pour donner la communion aux chrétiens clandestins et pour mourir pour le Christ si besoin. Chaque chemin d’un saint, c’est un chemin de doutes et faiblesses. Tel est même celui du Christ sans oublier le saint Pierre. Scorsese tourne une hagiographie et selon les canons il doit conduire son héros par ce chemin dur et cruel. Sebastião Rodrigues voit la puissance de foi incroyable des paysans qui sont prêts à mourir comme les premiers chrétiens, mais le moine ne voit pas le soutien du Dieu qui contemple la situation sans donner le moindre signe. Le paysage mort de ce pays sauvage n’écoute pas les voix de la prière. Il semble que le Dieu chrétien oublie vraiment ses fils au Japon. Scorsese montre le pire test de foi — l’épreuve de désespoir quant le prêtre doit continuer son chemin sans avoir le soutien du très Haut. De plus, on force Sebastião Rodrigues de mettre sur un plateau de balance son âme et son sauvetage et sur l’autre — les corps souffrant des japonais. À la fin il doit sacrifier son âme immortelle en abjurant pour arrêter les cris des martyrs et pour constituer le silence, dans lequel pour la première et dernière fois dans la vie il entendra la voix du Dieu.
Les voies de Dieu sont impénétrables. Parfois la persévérance de foi de martyrs provoque la diffusion de la religion. Parfois l’abjuration n’est qu’une formalité et on doit comprendre que sur une île isolée c’est impossible de sauvegarder le christianisme sans l’abjuration formelle car la foi vit dans le cœur. Saint Pierre a abjuré trois fois tandis que le héros de Scorsese l’a fait seulement une fois. Il a gardé la vie, il a gardé la foi et il l’a transmit à sa famille malgré la surveillance. Et malgré l’isolation du Japon et les répression, plus de 20000 chrétiens ont survécu à la liberté religieuse. Plusieurs parmi eux ont dû piétiner le fumi-e pour abjurer formellement. Aujourd’hui, à l’époque paisible, Scorsese tourne ce film pour formellement confirmer sa foi et pour nous donner une leçon aussi importante que belle.

** The King of Comedy, 1982. Le roi pour dix minutes

The King of Comedy 1983
Juste après un drame réaliste sur la vie d’un boxeur, Martin Scorsese tourne une comédie dramatique «The King of Comedy» avec le même Robert De Niro dans le rôle du héros principal. Rupert Pupkin est un new-yorkais qui vit avec sa mère et veut devenir un grand comique de stand-up. N’ayant aucune expérience, Rupert Pupkin essaie de passer dans l’émission populaire de Jerry Langford (Jerry Lewis). Il a réussi de parler à Jerry cinq minutes après le show et Rupert a décidé que c’est un signe du début d’une relation d’affaires. Malgré les promesses données, Jerry ne répond pas par téléphone et toutes les tentatives de Rupert pour se rendre au bureau du vedette échouent. Parallèlement Rupert essaie de séduire une barmaid Rita (Dianne Abbott) en disant qu’il est un ami de Jerry Langford et il va devenir bientôt un comique célèbre. Ne vivant que dans le monde de rêves, Rupert invite Rita à la maison de campagne de Jerry disant qu’il les attendent. Suite au scandale chez Jerry qui a dû mettre à la porte deux jeunes, Rita quitte Rupert et celui-ci décide d’enlever Jerry pour passer dans l’émission sous la menace du meurtre du présentateur de télévision.

The King of Comedy 1983
Six ans avant «The King of Comedy» Scorsese a déjà tourné un film dont le héros principal voulait être célèbre grâce au crime — «Taxi Driver». Là-bas un psychopathe solitaire joué par De Niro a tenté de tuer un politicien mais finalement à la place de ça il a organisé un massacre dans un bordel pour libérer la prostituée mineure. Ayant les mêmes fables, deux films montrent clairement les processus du changement dans la vie politique et sociale aux États-Unis. «Taxi Driver» est un exemple parfait d’un film du Nouvel Hollywood. Dans les éléments du sujet nous pouvons trouver avec facilité les signes clés du temps : la révolution sexuelle, la guerre du Viêt Nam, les problèmes politiques, l’isolation d’individus suite à l’urbanisation — le film célèbre est devenu une miroir des années soixante-dix orageuses. Au tournant de deux décennies, tout a changé. La société est devenue plus conservatrice, tandis que la révolution sexuelle et le Nouvel Hollywood avec toute sa fougue sont morts. Le psychopathe agressif a cédé sa place a un timbre qui est lui-même plus drôle que ses plaisanteries misérables. Le monde de «Taxi Driver» était réel de la première à la dernière image, alors que grâce au montage de «The King of Comedy» nous comprenons dès le début que Rupert Pupkin vit dans les illusions et la finale n’est qu’un autre rêve. Le cinéma américain des années quatre-vingt était en crise — le cinéma s’est resserré à la taille d’un écran de télévision et ne pouvait pas parler de sujets sérieux. Robert de Niro, l’un des acteurs les plus talentueux de cette époque-là, a réincarné brillamment d’un gars dur à une salope ridicule et c’est son rôle le plus original parmi ceux des films de Scorsese. Le rêve ultime de Pupkin — c’est de passer dans la télévision qui joue à ce moment-là le rôle de plus en plus important dans la vie de tous les américains surtout grâce à l’introduction de VHS. Impossible de ne pas remarquer l’ironie du réalisateur, un homme de cinéma, qui montre la télé-vedette Jerry Lewis comme un homme trop sérieux et même ennuyeux. Nous ne pouvons pas voir ses plaisanteries et comprendre les racines de sa popularité. Cette comédie triste sur un homme dévoré par l’écran bleu qui a été tournée à l’époque d’un crise cinématique reste très actuel jusqu’à maintenant, surtout avec l’avènement d’Internet avec ses rois pour une heure.